Je veux exprimer mes remerciements à tout le personnel médical de la clinique « Mardaleichvili », dans laquelle, le 6 juin 2019, on nous a réalisé la procédure de la transplantation des cellules souches. Ma fille a 6 ans, et à l’âge de 3 ans, on nous a diagnostiqué l’autisme. Durant ces 3 années, nous avons éprouvé beaucoup avec elle
Je veux exprimer mes remerciements à tout le personnel médical de la clinique « Mardaleichvili », dans laquelle, le 6 juin 2019, on nous a réalisé la procédure de la transplantation des cellules souches. Ma fille a 6 ans, et à l’âge de 3 ans, on nous a diagnostiqué l’autisme. Durant ces 3 années, nous avons éprouvé beaucoup avec elle. La réhabilitation et les exercices avec les pathologistes de discours-langue etc. En avril de l’année en cours, j’ai appris l’information sur la nouvelle méthode et je m’y suis intéressée tout de suite. Liya, l’employée de la clinique, m’a expliqué tout, d’une manière opératoire et claire. On nous a invités dans la clinique et on a montré tout. Le séjour dans la clinique était amical et confortable. Toute la procédure de la transplantation a pris à peu près de 5 heures. Tout ce temps, j’étais à coté de mon enfant. J’ai vu tout avec mes propres yeux. Ce sont les médecins bénits par le Dieu. Ils y font des miracles.
Les magiciens principaux, ce sont le docteur Gotcha Chatirichvili et le professeur Eka Berichvili, les spécialistes de la thérapie par cellules et de la transplantologie. Outre cela, je veux exprimer mes remerciements les plus chaleureux au réanimateur Vladimir, à l’anesthésiologiste Nino, à l’infirmière Nane. Ils travaillaient tous comme une équipe unie, d’une manière claire et professionnelle.
La prise des cellules souches a été réalisée de l’ilion de ma fille. Lors de la première étape, à l’aide de la piqûre, on a pris chez elle la moelle osseuse, au cours de la deuxième étape – les spécialistes du laboratoire ont dégagé les cellules souches et ont préparé la suspension, ensuite on l’a introduit dans la colonne vertébrale et dans la veine. Moi, je suis la première mère de l’Ouzbékistan qui s’est décidée à telle intervention. À Tachkent, on ne fait pas les pareilles opérations. Un mois a déjà passé et j’observe les changements. Le discours est devenu plus claire, ma fille a commencé à répondre aux questions. Ce qui est le plus étonnant, c’était la visite au stomatologiste. Elle a subi une heure du traitement curatif de la dent, elle s’est assise elle-même dans le fauteuil et elle a permis de lui faire une piqure de l’analgésique. Auparavant, 4 personnes ont dû la tenir et elle criait fortement. Et ce n’est qu’un mois qui a passé …